Eteindre la musique sur votre gauche
pour écouter et voir la vidéo !
Hé oui, j'y étais à la 5ème vélorution ! Plus de monde c'est fois-ci y ont participé. Au départ, j'étais très stressée car je ne savais pas du tout par où nous allions aller. Mais au final, je ne regrette pas d'y avoir été et surtout d'avoir été jusqu'au bout (précédement, je n'avais fait qu'un bout du chemin). Par contre, dur dur dans les montées car mon vélo n'a pas de vitesse. Parcours un peu difficile pour moi mais qu'est-ce que je suis contente d'avoir fait tout le parcours. Comme d'habitude, les voitures ont dû patienter pendant notre passage (yesss !!!). Cependant, cette fois-ci, une voiture de flic était derrière nous. Le plus drôle, c'est que nous avons plusieurs fois grillé le feu et ils ne nous ont même pas mis d'amande. Lol ! J'ai hate de la prochaine vélorution car c'est génial de pouvoir circuler sans être gêné par des voitures. Quelle liberté ! Wouaouuuu !!!!! En tout cas, bravo à Rémi et Xavier pour l'organisation ! Si vous êtes à Concarneau et que vous entendez parler d'une vélorution ou aperçoit une affiche l'annonçant, venez nous rejoindre... à vélo bien sûr.
Thalie 29
Une femme part, sans son mari en vacances à LA REUNION.
A peine arrivée, elle fait la connaissance d'un noir très costaud, et a près une nuit d'amour torride, elle lui demande :
Tous les soirs, ils se revoient, refont l'amour, et la femme pose toujours la même question, le noir donne toujours la même réponse...
Un soir la femme dit :
Et la femme part d'un fou rire terrible, et le noir en colère lui dit :
La femme lui répond :
Jusqu’au début du 11èmesiècle, la musique était notée par les lettres de l’alphabet.
C’est encore ce système qui est utilisé dans les pays anglo-saxons et en Allemagne.
On le trouve également dans la nomination des accords.
En 1028 le moine théoricien de la musique Guido d’ AREZZO crée la nouvelle nomination des notes en se servant des paroles d’un chant religieux en latin :
Utqueant laxis (changé en do en 1673 par l'Italien Bononcini)
Resonare fibris
Miragestorum
Famuli tuorum
Solve polluti
Labii reatum
Sancte Ibannes (*)
(*) Le « si » a été ajouté à la fin du 16èmesiècle (au 17ème ??) par un moine français Anselme de FLANDRES car le « ut » était difficile à prononcer en chantant.
Merci à Daniel (de la chorale des Kanérien) pour ces informations.
Thalie 29
Petites précisions (merci Jean !) :
ut --> afin que
famuli tuorum --> tes serviteurs
queant resonare --> puissent chanter
laxis fibris -> à gorges déployées
Sancte Iohannes --> Saint Jean
Solve reatum --> ôte le péché
polluti labii -> de leurs lèvres souillées.
Non, non, ce n'est pas gloire et beauté mais un jeu que je vous propose tout d'abord. Essayer, c'est génial !
Cliquez sur le lien : ET METTRE LE SON TU VAS JUSTE DEVOIR ÉCRIRE TON PRENOM UNE FOIS QUE TU AS CLIQUE
www.la-star-de-boomerang.com
Ensuite, regardez cette vidéo en cliquant sur le lien suivant : http://www.youtube.com/watch_popup?v=jD69C0y6_J0
Ca a lieu à Dubaï et c'est tout simplement magique.
Bon week-end à tou(te)s !
Thalie 29
Bonjour,
J'ai appris jeudi soir en pleine répétition chorale qu'une de mes cousines habitant l'Espagne avait mis au monde une petite fille prénommée Zoé. De quoi me mettre du baume au coeur.
Félicitations aux heureux parents !
Ma cousine a beaucoup souffert. En effet, elle a perdu son papa très jeune mais également l'homme de sa vie il y a presque 10 ans. Elle a mis du temps à s'en remettre car il n'y a pas si longtemps, avant qu'elle ne soit enceinte, elle a réussi à surmonter sa douleur en disperssant les cendres de son premier mari.
Aujourd'hui, elle sourit à la vie grâce à ce petit bout de choux qu'elle a mis au monde.
Bonjour,
Mon blog n'a pas que pour vocation d'être drôle. Il peut parfois aussi de dire stop à des choses graves. C'est le cas dans ce témoignage poignant d'une femme qui connue l'excision, une pratique barbare qui consiste à l'ablation du clitoris.
Pour l'écouter, je vous conseille d'éteindre la musique qui se trouve sur le côté gauche de l'écran.
Attention, âmes sensibles s'abstenir !
Thalie 29
Vidéo découvert sur le site de l'association Abri côtier - Urgence femmes : http://urgences-femmescc.over-blog.com/
Depuis la fin de l'été, Rémi et Xavier ont posé leurs guidons dans un local désaffecté du port, qui appartient à la CCI. Les deux hommes ont aménagé l'endroit en lui redonnant un petit coup de propre, en bouchant quelques trous sur le toit pour être hors d'eau.
Pas de CCI au tribunal
Mais le propriétaire des lieux n'est pas d'accord avec cette occupation. En décembre, la CCI a assigné l'association devant le tribunal de Quimper. L'audience avait lieu hier, mercredi matin en référé pour demander une expulsion des deux hommes. Une audience qui a tourné court.
Si l'association s'est présentée au tribunal, personne n'est venu défendre les droits de la CCI. Interrogée hier dans l'après-midi, elle n'a pas répondu à notre demande.
Quant à Xavier et Rémi, ils avouent : « être fatigués par cette situation qui crée beaucoup de tensions nerveuses. Depuis six mois, on bosse comme des acharnés. »
La ville en aide
Depuis le début de l'affaire, la ville de Concarneau suit avec attention le dossier et tente d'apporter des solutions. « Leur démarche correspond à la politique qu'on souhaite mettre en place en matière de développement durable » explique le 1er adjoint François Besombes. « Nous les avons incités à faire une demande de subventions à la ville. » Le dossier a été fait et sera examiné prochainement. « Avec cette subvention, ils pourraient éventuellement louer un local à un privé. Nous n'avons malheureusement pas de local vide, ni pour eux ni pour d'autres associations qui nous en réclament depuis longtemps. »
Isabelle JÉGOUZO
Concarneau (29). Mobilisation contre la menace d'expulsion de l'atelier de vélos
3 janvier 2011
Un imposant tas de vélos, des sympathisants présents et une pétition: les membres du Crade (Centre de recherche sur l'avenir des déplacements écologiques) ont voulu marquer...
Source : www.letelegramme.com
3 janvier 2011
Assigné en référé par la CCI, qui veut obtenir l'expulsion du bâtiment de la rue des Thoniers, l'atelier de vélos, le Crade, se mobilise. Il veut obtenir un bail précaire: occuper le local jusqu'à ce que la CCI trouve un autre projet pour l'utiliser.
Un imposant tas de vélos, des sympathisants présents et une pétition: les membres du Crade (Centre de recherche sur l'avenir des déplacements écologiques) ont voulu marquer les esprits, vendredi matin, sur le marché. Eux qui y interviennent d'habitude pour réparer les vélos voulaient cette fois interpeller les passants sur leurs soucis. La semaine dernière, un huissier leur a en effet déposé de la part de la CCI une assignation en référé devant le tribunal de grande instance de Quimper, mercredi prochain.
«Quel trouble?»
Concessionnaire des bâtiments du port, la chambre de commerce et d'industrie demande au juge d'ordonner l'expulsion immédiate de l'atelier de vélos associatif, installé dans un local désaffecté de la rue des Thoniers, et la fixation d'une astreinte de 100 EUR par jour en cas de refus. Cette occupation constitue selon la CCI un «trouble manifestement illicite». «Quel trouble? Des personnes venant réparer leur vélo dans un local réhabilité?», s'interrogent les membres du Crade. Ils défendront cet argument mercredi. Les recycleurs de vélos veulent faire rejeter le référé «pour obtenir une procédure normale, car rien ne justifie une telle procédure d'urgence». Plus concrètement, ils expliquent «vouloir essayer de discuter avec la CCI pour établir un bail précaire, à savoir rester jusqu'à une utilisation réelle du local de sa part». Autre possibilité: trouver un nouveau bâtiment. Selon le Crade, cinglant, «à l'heure où la CCI investit dans un centre régional de ressources en développement durable et les énergies renouvelables nécessitant 4MEUR, il serait judicieux qu'elle accompagne ou tout du moins qu'elle n'entrave pas les projets associatifs de terrain». Les militants du vélo en ville attendent aussi que la municipalité joue un rôle de médiateur dans ce dossier.
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